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[Notre objet est ici de comprendre, à travers l’exemple de Hermann Weyl et de son travail en philosophie des mathématiques, ce qui constitue la spécificité d’une philosophie ou d’une épistémologie des mathématiques qui soit de style proprement phénoménologique, et de ressaisir les traits caractéristiques par lesquels elle se distingue tant d’une épistémologie historique (Brunschvicg, Bachelard, Koyré) qui tente de déchiffrer dans l’histoire les étapes de la construction de la raison mathématique ou les moments de mutation de la rationalité mathématicienne, que d’une philosophie des mathématiques de type logico-syntaxique (Hilbert, Frege, Russell, Carnap) qui tente d’éclairer la teneur eidétique des objets mathématiques grâce à l’examen des systèmes de propositions qui portent sur de tels objets. En quoi, donc, le travail de Weyl en philosophie des mathématiques relève-t-il d’une position proprement phénoménologique ? Quels sont, dans la démarche de Weyl, les traits spécifiquement phénoménologiques qui, par généralisation, permettent de faire le partage rigoureux entre une philosophie des mathématiques qui est bien phénoménologique et une autre qui ne l’est pas ?]
Published: Oct 10, 2019
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